Nicolas Sarkozy est de retour. A peine deux ans et demi après sa défaite à la présidentielle, l'ancien chef de l'Etat a publié un texte sur sa page Facebook, vendredi 19 septembre.
Il y annonce sa candidature à la présidence de l'UMP.
"Ce serait une forme d’abandon que de rester spectateur de la situation dans laquelle se trouve la France, devant le délitement du débat politique, et la persistance de divisions si dérisoires au sein de l’opposition", se justifie Nicolas Sarkozy qui avait pourtant affirmé en 2012 "sa volonté de se retirer de toute activité publique".
"Faire une formation politique du XXIème siècle"
Dans un premier temps, c'est donc l'UMP qu'il veut récupérer pour en faire "la formation politique du XXIème siècle". "Je proposerai de la transformer de fond en comble, de façon à créer, dans un délai de trois mois, les conditions d’un nouveau et vaste rassemblement", précise l'ancien Président.
Lui que l'on a souvent accusé, durant son quinquennat de diviser les Français, dit vouloir aujourd'hui "apaiser les tensions" et " susciter l'intérêt passionné de tous ceux qui ne peuvent se résoudre à l’abaissement de la France".
Les autres candidats veulent un débat
Si sa victoire à la présidence de l'UMP fait peu de doute, il devra tout de même affronter au moins deux candidats. Bruno Le Maire et Hervé Mariton, ses deux challengers espèrent avoir l'occasion de débattre avec leur ancien leader d'ici au premier tour de scrutin, le 29 novembre prochain.
En attendant, ses soutiens ne cachent pas leur joie. Sur les réseaux sociaux, les responsables de l'UMP et ses proches ont rapidement salué le retour de leur champion.
Il y annonce sa candidature à la présidence de l'UMP.
"Ce serait une forme d’abandon que de rester spectateur de la situation dans laquelle se trouve la France, devant le délitement du débat politique, et la persistance de divisions si dérisoires au sein de l’opposition", se justifie Nicolas Sarkozy qui avait pourtant affirmé en 2012 "sa volonté de se retirer de toute activité publique".
"Faire une formation politique du XXIème siècle"
Dans un premier temps, c'est donc l'UMP qu'il veut récupérer pour en faire "la formation politique du XXIème siècle". "Je proposerai de la transformer de fond en comble, de façon à créer, dans un délai de trois mois, les conditions d’un nouveau et vaste rassemblement", précise l'ancien Président.
Lui que l'on a souvent accusé, durant son quinquennat de diviser les Français, dit vouloir aujourd'hui "apaiser les tensions" et " susciter l'intérêt passionné de tous ceux qui ne peuvent se résoudre à l’abaissement de la France".
Les autres candidats veulent un débat
Si sa victoire à la présidence de l'UMP fait peu de doute, il devra tout de même affronter au moins deux candidats. Bruno Le Maire et Hervé Mariton, ses deux challengers espèrent avoir l'occasion de débattre avec leur ancien leader d'ici au premier tour de scrutin, le 29 novembre prochain.
.@NicolasSarkozy confirme sa candidature à la Présidence de l'#UMP : que le débat commence, nous le devons à nos militants !
— Bruno Le Maire (@Bruno_LeMaire) 19 Septembre 2014
Je suis le candidat des convictions,garant de la paix. Je serai honoré d'en débattre avec #nicolassarkozy
— Hervé Mariton (@HerveMariton) 19 Septembre 2014
En attendant, ses soutiens ne cachent pas leur joie. Sur les réseaux sociaux, les responsables de l'UMP et ses proches ont rapidement salué le retour de leur champion.
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