Le meurtrier présumé d'Afif Chebil, un étudiant tunisien dont le cadavre a été retrouvé découpé dans des sacs poubelle près de Paris, a avoué son crime, a indiqué vendredi à l'AFP le ministère tunisien de l'Intérieur.
D'après une source proche de l'enquête en France, il pourrait avoir agi sur fond de différend financier ou bien de drame passionnel.
"Il est toujours interrogé", a ajouté M. Aroui à propos du meurtrier présumé, arrêté jeudi en Tunisie peu après avoir tenté de se suicider.
Une source proche de la famille de la victime affirme que le meurtrier présumé est originaire de la même ville que sa victime, M'saken, dans l'est de la Tunisie et habitait en France. Les proches d'Afif Chebil auraient désigné quelques jours après les faits ce suspect aux enquêteurs, selon cette source.
Ceux-ci auraient ensuite trouvé des empreintes l'incriminant, mais l'homme a eu le temps de rentrer en Tunisie et a finalement "été arrêté sur la côte" après avoir tenté de se suicider "en sautant d'une falaise", a affirmé cette source.
L'affaire avait commencé le 2 septembre par la découverte par des passants, dans trois sacs poubelle déposés sur un trottoir de Villepinte (nord-est de Paris), d'un corps découpé en morceaux. Selon une source policière, il avait été égorgé avant d'être découpé en morceaux à l'aide d'une scie à métaux.
Ses proches racontent l'avoir vu sur Skype pour la dernière fois à minuit le 31 août. "Il allait se coucher, il était tout à fait normal", selon oncle, qui le décrit comme un jeune homme "instruit" et "pas particulièrement aventureux".
"Il a dit qu'il a tué Afif Chebil, qu'il l'a découpé avec une scie à disque. Pour le moment et jusqu'à maintenant, il n'a pas dit pourquoi", a indiqué à l'AFP le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Mohamed Ali Aroui.
D'après une source proche de l'enquête en France, il pourrait avoir agi sur fond de différend financier ou bien de drame passionnel.
"Il est toujours interrogé", a ajouté M. Aroui à propos du meurtrier présumé, arrêté jeudi en Tunisie peu après avoir tenté de se suicider.
Une source proche de la famille de la victime affirme que le meurtrier présumé est originaire de la même ville que sa victime, M'saken, dans l'est de la Tunisie et habitait en France. Les proches d'Afif Chebil auraient désigné quelques jours après les faits ce suspect aux enquêteurs, selon cette source.
Ceux-ci auraient ensuite trouvé des empreintes l'incriminant, mais l'homme a eu le temps de rentrer en Tunisie et a finalement "été arrêté sur la côte" après avoir tenté de se suicider "en sautant d'une falaise", a affirmé cette source.
L'affaire avait commencé le 2 septembre par la découverte par des passants, dans trois sacs poubelle déposés sur un trottoir de Villepinte (nord-est de Paris), d'un corps découpé en morceaux. Selon une source policière, il avait été égorgé avant d'être découpé en morceaux à l'aide d'une scie à métaux.
Issu d'une famille de cinq enfants, Afif Chebil aurait fêté ses 20 ans dans un mois. Le jeune homme était arrivé en France le 27 août pour suivre des études de mathématiques et d'informatique à l'université Paris-VII (Paris Diderot). Pendant les quelques jours qu'il a passés en France, il résidait seul chez un ami de son père à Aulnay-sous-Bois, ville voisine de Villepinte.
Ses proches racontent l'avoir vu sur Skype pour la dernière fois à minuit le 31 août. "Il allait se coucher, il était tout à fait normal", selon oncle, qui le décrit comme un jeune homme "instruit" et "pas particulièrement aventureux".
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