La coalition pour lutter contre l'Etat islamique s'organise. Dix pays arabes, dont l'Arabie saoudite, ont accepté ce jeudi 11 septembre de s'engager aux côtés des Etats-Unis dans la lutte contre les jihadistes de l'Etat islamique (EI) en Irak et en Syrie.
L'Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Qatar, Oman, l'Egypte, l'Irak, la Jordanie, le Liban et les Etats-Unis "ont déclaré leur engagement partagé de se tenir unis contre la menace que pose pour la région et le monde le terrorisme (sous toutes ses formes)".
La veille, Barack Obama s'est dit prêt à frapper l'Etat islamique en Syrie et à étendre les raids menés en Irak depuis un mois, promettant, lors d'une allocution solennelle, de "détruire" le groupe jihadiste ultra-radical.
Faire face à la stratégie du pire
"Notre objectif est clair: nous affaiblirons, et, à terme, détruirons l'EI", a poursuivi Barack Obama, estimant que les jihadistes appartenaient à "une organisation terroriste qui n'a d'autre vision que le massacre de tous ceux qui s'opposent à elle". Le président américain avait jusqu'à présent affiché sa volonté de tourner la page d'une décennie de guerre, notamment en retirant les troupes américaines d'Irak fin 2011. Mais il a été acculé à agir face aux atrocités commises par l'EI.
Il faut dire que depuis la proclamation d'un "califat" (régime politique islamique disparu il y a près d'un siècle) par l'EI en juin 2014, le groupe n'a cessé de gagner du terrain (le territoire qu'il contrôle s'étale à cheval sur l'Irak et la Syrie) tout en continuant de semer la terreur sur son passage.
Persécutions de minorités, exécutions, décapitations filmées de deux journalistes américains, l'EI choisit délibérément la stratégie du pire pour s'imposer. Autant d’exactions qui ont fait dire précédemment à Barack Obama que l'Etat islamique est un "cancer" qui n'a "pas sa place au XXIe siècle".
Qui sont-ils vraiment? Que veulent-ils? Le HuffPost répond à sept questions pour comprendre ce groupe extrémiste qui terrorise l'Irak et la Syrie et que l'Occident souhaite combattre.
L'Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Qatar, Oman, l'Egypte, l'Irak, la Jordanie, le Liban et les Etats-Unis "ont déclaré leur engagement partagé de se tenir unis contre la menace que pose pour la région et le monde le terrorisme (sous toutes ses formes)".
La veille, Barack Obama s'est dit prêt à frapper l'Etat islamique en Syrie et à étendre les raids menés en Irak depuis un mois, promettant, lors d'une allocution solennelle, de "détruire" le groupe jihadiste ultra-radical.
Faire face à la stratégie du pire
"Notre objectif est clair: nous affaiblirons, et, à terme, détruirons l'EI", a poursuivi Barack Obama, estimant que les jihadistes appartenaient à "une organisation terroriste qui n'a d'autre vision que le massacre de tous ceux qui s'opposent à elle". Le président américain avait jusqu'à présent affiché sa volonté de tourner la page d'une décennie de guerre, notamment en retirant les troupes américaines d'Irak fin 2011. Mais il a été acculé à agir face aux atrocités commises par l'EI.
Il faut dire que depuis la proclamation d'un "califat" (régime politique islamique disparu il y a près d'un siècle) par l'EI en juin 2014, le groupe n'a cessé de gagner du terrain (le territoire qu'il contrôle s'étale à cheval sur l'Irak et la Syrie) tout en continuant de semer la terreur sur son passage.
Persécutions de minorités, exécutions, décapitations filmées de deux journalistes américains, l'EI choisit délibérément la stratégie du pire pour s'imposer. Autant d’exactions qui ont fait dire précédemment à Barack Obama que l'Etat islamique est un "cancer" qui n'a "pas sa place au XXIe siècle".
Qui sont-ils vraiment? Que veulent-ils? Le HuffPost répond à sept questions pour comprendre ce groupe extrémiste qui terrorise l'Irak et la Syrie et que l'Occident souhaite combattre.
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