L'Union pour la Tunisie (UPT) a présenté ce mardi les listes complètes de ses candidats aux législatives.
Composée essentiellement d'Al Massar et d'indépendants, l'UPT sera représentée dans 26 circonscriptions sur les 33 existantes. 10 femmes sont têtes de liste, parmi lesquelles une majorité de députées: Nadia Chaâbane, Karima Souid, Manel Kadri, Selma Mabrouk, Selma Baccar et Monia Ben Nasr Ayadi. Démissionnaire d'Ettakatol, cette dernière n'avait pas officiellement rejoint le parti Al Massar.
Chez les hommes, seuls Samir Taïeb et Fadhel Moussa tenteront de nouveau l'expérience. Ahmed Brahim, Ali Bechrifa et Abdelkader Ben Khmis ne figurent pas sur les listes de candidats.
Moins bien que le Pôle
Malgré une présence féminine supérieure à celle des principaux partis politiques tunisiens ayant dévoilé les noms de leurs candidats, l'Union pour la Tunisie fera moins bien que le Pôle démocratique moderniste (PDM), qui avait été le seul à appliquer le principe de parité horizontale en 2011, avec 16 femmes têtes de liste sur 33.
Al Massar - principale composante de l'UPT et dont les députés "fondateurs" avaient été élus sur les listes du PDM - a pourtant voté en faveur de l'inscription de la parité horizontale dans la loi électorale.
Des circonscriptions manquantes
Par ailleurs, seules 26 listes sur 33 seront présentées par l'UPT. "Nous n'avons pas de raisons de présenter une liste qui a peu de chance de gagner et qui pourrait être la cause de l'échec d'autres listes proches et amies, comme celles du Front populaire ou de Nida Tounes", a justifié Samir Taïeb, secrétaire général d'Al Massar, sur Shems FM.
Samir Taïeb a ajouté que d'autres partis devraient suivre cet exemple et "préférer l'intérêt général à l'intérêt partisan".
Le leader d'Al Massar a enfin indiqué que la question de la présidentielle allait être discutée avant la fin de la semaine, pour décider "de présenter un candidat au nom de l'UPT ou de soutenir un autre candidat".
Composée essentiellement d'Al Massar et d'indépendants, l'UPT sera représentée dans 26 circonscriptions sur les 33 existantes. 10 femmes sont têtes de liste, parmi lesquelles une majorité de députées: Nadia Chaâbane, Karima Souid, Manel Kadri, Selma Mabrouk, Selma Baccar et Monia Ben Nasr Ayadi. Démissionnaire d'Ettakatol, cette dernière n'avait pas officiellement rejoint le parti Al Massar.
Chez les hommes, seuls Samir Taïeb et Fadhel Moussa tenteront de nouveau l'expérience. Ahmed Brahim, Ali Bechrifa et Abdelkader Ben Khmis ne figurent pas sur les listes de candidats.
Moins bien que le Pôle
Malgré une présence féminine supérieure à celle des principaux partis politiques tunisiens ayant dévoilé les noms de leurs candidats, l'Union pour la Tunisie fera moins bien que le Pôle démocratique moderniste (PDM), qui avait été le seul à appliquer le principe de parité horizontale en 2011, avec 16 femmes têtes de liste sur 33.
Al Massar - principale composante de l'UPT et dont les députés "fondateurs" avaient été élus sur les listes du PDM - a pourtant voté en faveur de l'inscription de la parité horizontale dans la loi électorale.
LIRE AUSSI: Après avoir soutenu la parité horizontale, des partis politiques proposent une minorité de femmes têtes de liste
Des circonscriptions manquantes
Par ailleurs, seules 26 listes sur 33 seront présentées par l'UPT. "Nous n'avons pas de raisons de présenter une liste qui a peu de chance de gagner et qui pourrait être la cause de l'échec d'autres listes proches et amies, comme celles du Front populaire ou de Nida Tounes", a justifié Samir Taïeb, secrétaire général d'Al Massar, sur Shems FM.
Samir Taïeb a ajouté que d'autres partis devraient suivre cet exemple et "préférer l'intérêt général à l'intérêt partisan".
Le leader d'Al Massar a enfin indiqué que la question de la présidentielle allait être discutée avant la fin de la semaine, pour décider "de présenter un candidat au nom de l'UPT ou de soutenir un autre candidat".
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