A 69 jours des élections législatives qui auront lieu le 26 octobre, les partis politiques tunisiens ont commencé à dessiner les orientations de leurs listes.
Le parti Al-Massar a ainsi décidé de se présenter aux élections avec des listes unifiées sous la bannière de l'Union pour la Tunisie (UPT).
Selon un communiqué du parti publié dimanche, cette décision a été prise "dans le souci d'unifier les forces démocratiques et progressistes" et afin de répondre aux "appels persistants" pour créer "un rapport de force favorable".
De son côté, le Parti socialiste a décidé de présenter des listes individuelles, qui seront publiées dans quelques jours.
La décision aurait été prise en raison des difficultés de présenter des listes unifiées au sein de l'Union Pour la Tunisie, annonce le communiqué du parti socialiste. Le parti s'engage toutefois à continuer d'oeuvrer avec le reste des partis composant l'union, comme convenu lors de la réunion du 24 juillet 2014.
Initialement constituée des partis Nida Tounes, Joumhouri et Al Massar, l'UPT avait par la suite accueilli le Parti socialiste et le Parti du travail patriotique et démocratique. Mais après les renoncements successifs de Joumhouri et Nida Tounes - dont les relations étaient particulièrement tendues - et du Parti socialiste, l'Union pour la Tunisie ne se réduit aujourd'hui plus qu'à deux formations politiques.
Le MDS se détache du Front populaire
Un peu plus à gauche sur l'échiquier politique, les secrétaires généraux du Front populaire ont entamé des négociations pour décider du candidat à l'élection présidentielle. Le secrétaire général Hamma Hammami est pour l'heure la seule personnalité candidate à l'investiture.
Le Front populaire a parallèlement essuyé des critiques de la part du Mouvement des démocrates sociaux (MDS). Alors que des membres du MDS critiquaient une "hégémonie du Parti des travailleurs" au sein du Front populaire, le secrétaire général du Mouvement Ahmed Khasskhoussi a rejeté la possibilité de présenter des listes au sein du FP, préférant se présenter seul aux élections pour préserver l"'unité de son parti". Interrogé sur Shems FM, M. Khaskhoussi a ainsi annoncé le retrait - ou la suspension de l'adhésion - du MDS au Front populaire.
Le parti Al-Massar a ainsi décidé de se présenter aux élections avec des listes unifiées sous la bannière de l'Union pour la Tunisie (UPT).
Selon un communiqué du parti publié dimanche, cette décision a été prise "dans le souci d'unifier les forces démocratiques et progressistes" et afin de répondre aux "appels persistants" pour créer "un rapport de force favorable".
De son côté, le Parti socialiste a décidé de présenter des listes individuelles, qui seront publiées dans quelques jours.
La décision aurait été prise en raison des difficultés de présenter des listes unifiées au sein de l'Union Pour la Tunisie, annonce le communiqué du parti socialiste. Le parti s'engage toutefois à continuer d'oeuvrer avec le reste des partis composant l'union, comme convenu lors de la réunion du 24 juillet 2014.
Initialement constituée des partis Nida Tounes, Joumhouri et Al Massar, l'UPT avait par la suite accueilli le Parti socialiste et le Parti du travail patriotique et démocratique. Mais après les renoncements successifs de Joumhouri et Nida Tounes - dont les relations étaient particulièrement tendues - et du Parti socialiste, l'Union pour la Tunisie ne se réduit aujourd'hui plus qu'à deux formations politiques.
Le MDS se détache du Front populaire
Un peu plus à gauche sur l'échiquier politique, les secrétaires généraux du Front populaire ont entamé des négociations pour décider du candidat à l'élection présidentielle. Le secrétaire général Hamma Hammami est pour l'heure la seule personnalité candidate à l'investiture.
Le Front populaire a parallèlement essuyé des critiques de la part du Mouvement des démocrates sociaux (MDS). Alors que des membres du MDS critiquaient une "hégémonie du Parti des travailleurs" au sein du Front populaire, le secrétaire général du Mouvement Ahmed Khasskhoussi a rejeté la possibilité de présenter des listes au sein du FP, préférant se présenter seul aux élections pour préserver l"'unité de son parti". Interrogé sur Shems FM, M. Khaskhoussi a ainsi annoncé le retrait - ou la suspension de l'adhésion - du MDS au Front populaire.
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