Deux soldats tunisiens ont été blessés samedi dans l'explosion d'une mine sur le mont Châambi, à la frontière avec l'Algérie, où l'armée tente de neutraliser un groupe armé qui serait lié à Al-Qaïda, ont indiqué des sources sécuritaire et médicale.
L'incident s'est produit selon la source de sécurité près de la région de Henchir El-Talla, où 15 militaires ont été tués il y a un mois dans un assaut attribué à des jihadistes, le plus sanglant de l'histoire de l'armée tunisienne.
L'un des soldats a été blessé à la jambe et doit être opéré. L'autre a été atteint à l'oeil, selon la source médicale.
La Tunisie est confrontée depuis la révolution de 2011 à un essor de la mouvance jihadiste. Des dizaines de militaires, policiers et gendarmes ont été tués dans des attaques impliquant des groupes armés depuis 2011.
Des régions montagneuses frontalières de l'Algérie sont régulièrement le théâtre d'affrontements ou d'accrochages avec ces groupes.
Malgré des bombardements à répétition à Chaambi, déclaré "zone militaire fermée", le groupe qui a miné le massif montagneux pour ralentir l'avancée des troupes n'a pas été neutralisé depuis ses premières attaques en décembre 2012.
Le 16 juillet, de 40 à 60 "terroristes" armés de mitrailleuses, de grenades et de lance-roquettes selon les autorités avaient ouvert le feu à l'heure de la rupture du jeûne du ramadan sur des soldats dans la région de Henchir El-Talla, à Chaambi, tuant en tout 15 militaires.
L'incident s'est produit selon la source de sécurité près de la région de Henchir El-Talla, où 15 militaires ont été tués il y a un mois dans un assaut attribué à des jihadistes, le plus sanglant de l'histoire de l'armée tunisienne.
L'un des soldats a été blessé à la jambe et doit être opéré. L'autre a été atteint à l'oeil, selon la source médicale.
La Tunisie est confrontée depuis la révolution de 2011 à un essor de la mouvance jihadiste. Des dizaines de militaires, policiers et gendarmes ont été tués dans des attaques impliquant des groupes armés depuis 2011.
Des régions montagneuses frontalières de l'Algérie sont régulièrement le théâtre d'affrontements ou d'accrochages avec ces groupes.
Malgré des bombardements à répétition à Chaambi, déclaré "zone militaire fermée", le groupe qui a miné le massif montagneux pour ralentir l'avancée des troupes n'a pas été neutralisé depuis ses premières attaques en décembre 2012.
Le 16 juillet, de 40 à 60 "terroristes" armés de mitrailleuses, de grenades et de lance-roquettes selon les autorités avaient ouvert le feu à l'heure de la rupture du jeûne du ramadan sur des soldats dans la région de Henchir El-Talla, à Chaambi, tuant en tout 15 militaires.
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