La photo d'un jeune garçon tenant une tête décapitée, postée sur Twitter, a suscité de vives réactions en Australie (voir la photo ci-dessous).
Ce jeune garçon qui a, d'après les autorités australiennes, été élevé à Sydney est le fils de Khaled Sharrouf, un Australien qui a quitté le pays l'année dernière pour combattre en Syrie, rapporte News Corp.
La photo, elle, contenait une légende explicite puisque Khaled Sharrouf avait écrit : "That's my boy" ("Ça ç'est mon fils").
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"Ça c'est mon fils" / photo postée sur le compte Twitter de Sharrouf
D'autres photos du même compte Twitter (qui a été fermé depuis) montraient Sharrouf camouflé, posant avec ses trois fils devant le drapeau de l'État Islamique.
Khaled Sharrouf est recherché pour terrorisme en Australie tient aussi une tête décapitée sur quelques images.
D'après le Sydney Morning Herald, Sharrouf s'était échappé vers le Moyen-Orient en utilisant le passeport de son frère, et avait par la suite demandé la libération de 12 prisonniers islamiques en Australie.
Un membre de la police australienne avait quant à lui, indiqué au même journal, que Sharrouf n'était qu'un "menteur prolifique" en ajoutant qu'il ne souhaitait en aucun cas négocier avec lui.
D'autre part, le premier ministre Australien Tony Abbot avait condamné ces images qu'il a qualifié d' "hideuses" et "barbares".
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Sharrouf est recherché en Australie pour terrorisme
Le Premier ministre a par ailleurs ajouté dans une radio locale: "L'État Islamique n'est pas juste un groupe terroriste, c'est une armée terroriste, et ils ne recherchent pas seulement une enclave terroriste, mais bel et bien un état terroriste, une nation terroriste".
"Ceci pose des problèmes extraordinaires - problèmes extraordinaires, pas seulement pour les peuples de Moyen-Orient, mais pour le monde en général et l'on voit de plus en plus de preuves de l'intensité de la barbarie de cette entité spécifique." a-t-il ajouté, en condamnant l'acte de Sharrouf de façon (très) virulente.
Pas un acte terroriste, mais un acte "schizophrène"
Pour faire la parte des choses, le président de la l'Association Libanaise des Musulmans (Lebanese Muslim Association) basée à Sidney, Samier Dandan a lui expliqué qu'il ne fallait pas faire d'amalgame dans ce type d'affaire et qu'il fallait absolument différencier la communauté des musulmans australiens de cette entité, dite "terroriste".
Ce jeune garçon qui a, d'après les autorités australiennes, été élevé à Sydney est le fils de Khaled Sharrouf, un Australien qui a quitté le pays l'année dernière pour combattre en Syrie, rapporte News Corp.
La photo, elle, contenait une légende explicite puisque Khaled Sharrouf avait écrit : "That's my boy" ("Ça ç'est mon fils").
D'autres photos du même compte Twitter (qui a été fermé depuis) montraient Sharrouf camouflé, posant avec ses trois fils devant le drapeau de l'État Islamique.
Khaled Sharrouf est recherché pour terrorisme en Australie tient aussi une tête décapitée sur quelques images.
D'après le Sydney Morning Herald, Sharrouf s'était échappé vers le Moyen-Orient en utilisant le passeport de son frère, et avait par la suite demandé la libération de 12 prisonniers islamiques en Australie.
Un membre de la police australienne avait quant à lui, indiqué au même journal, que Sharrouf n'était qu'un "menteur prolifique" en ajoutant qu'il ne souhaitait en aucun cas négocier avec lui.
D'autre part, le premier ministre Australien Tony Abbot avait condamné ces images qu'il a qualifié d' "hideuses" et "barbares".
Le Premier ministre a par ailleurs ajouté dans une radio locale: "L'État Islamique n'est pas juste un groupe terroriste, c'est une armée terroriste, et ils ne recherchent pas seulement une enclave terroriste, mais bel et bien un état terroriste, une nation terroriste".
"Ceci pose des problèmes extraordinaires - problèmes extraordinaires, pas seulement pour les peuples de Moyen-Orient, mais pour le monde en général et l'on voit de plus en plus de preuves de l'intensité de la barbarie de cette entité spécifique." a-t-il ajouté, en condamnant l'acte de Sharrouf de façon (très) virulente.
Pas un acte terroriste, mais un acte "schizophrène"
Pour faire la parte des choses, le président de la l'Association Libanaise des Musulmans (Lebanese Muslim Association) basée à Sidney, Samier Dandan a lui expliqué qu'il ne fallait pas faire d'amalgame dans ce type d'affaire et qu'il fallait absolument différencier la communauté des musulmans australiens de cette entité, dite "terroriste".
"Nous (la communauté musulmane en Australie) nous positionnons bien loin de cet acte barbare - ceci est un acte schizophrène".
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