En marge de sa rencontre avec le président de la République Moncef Marzouki, Mongi Hamdi, ministre des Affaires étrangères a dit espérer "que les Libyens trouvent une solution à leurs problèmes", indiquant que le président de la République avait donné ses instructions pour que des mesures soient prises en Tunisie pour faire face à la crise libyenne.
Cette rencontre fait suite aux récentes évolutions de la situation en Libye qui a un impact direct sur la situation en Tunisie. En effet, le nombre de personnes fuyant les violences en Libye et venues trouver refuge en Tunisie ne cesse d'augmenter.
Des mesures seront prises pour faciliter "l'entrée en Tunisie des ressortissants tunisiens en Libye", a dit le ministre des Affaires étrangères. Il a ajouté que l'entrée des ressortissants des autres pays et leur rapatriement vers leurs pays respectifs seraient également facilités. Le président a "donné ses instructions pour faciliter [ces procédures] à nos 'frères', principalement arabes", a-t-conclu.
"La situation économique dans notre pays est précaire et on ne peut pas supporter (l'arrivée) de centaines de milliers de réfugiés", avait déclaré Mongi Hamdi mercredi, à l'AFP, ajoutant que la Tunisie fermera ses frontières, "si l'intérêt national l'exige".
Cette rencontre fait suite aux récentes évolutions de la situation en Libye qui a un impact direct sur la situation en Tunisie. En effet, le nombre de personnes fuyant les violences en Libye et venues trouver refuge en Tunisie ne cesse d'augmenter.
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Des mesures seront prises pour faciliter "l'entrée en Tunisie des ressortissants tunisiens en Libye", a dit le ministre des Affaires étrangères. Il a ajouté que l'entrée des ressortissants des autres pays et leur rapatriement vers leurs pays respectifs seraient également facilités. Le président a "donné ses instructions pour faciliter [ces procédures] à nos 'frères', principalement arabes", a-t-conclu.
"La situation économique dans notre pays est précaire et on ne peut pas supporter (l'arrivée) de centaines de milliers de réfugiés", avait déclaré Mongi Hamdi mercredi, à l'AFP, ajoutant que la Tunisie fermera ses frontières, "si l'intérêt national l'exige".
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