Au moins sept civils et un soldat ont été tués lorsque trois roquettes se sont abattues dans la nuit de dimanche à lundi à El-Arish, la capitale régionale du Nord-Sinaï, ont indiqué des sources médicales et le ministère égyptien de l'Intérieur.
Un obus de mortier, tombé devant un commerce situé à proximité du quartier général des services de sécurité dans le sud de la ville, a tué sept civils, dont un enfant, et blessé 25 autres personnes, selon le ministère de l'Intérieur.
Deux roquettes ont ensuite visé un poste militaire, tuant un soldat et en blessant trois autres, ont indiqué des sources médicales à l'AFP.
Depuis la destitution et l'arrestation par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi le 3 juillet 2013, les attaques contre les forces de l'ordre sont devenues quasi-quotidiennes dans la péninsule désertique du nord-est égyptien et ont fait, selon le gouvernement, quelque 500 morts, pour la quasi-totalité des policiers et des soldats.
Elles sont pour la plupart revendiquées par des groupes jihadistes qui affirment frapper en représailles à l'implacable et sanglante répression menée par les autorités installées par l'armée après l'éviction de M. Morsi. En un an, plus d'un millier de manifestants pro-Morsi ont été tués, 15.000 arrêtés et des centaines condamnés à mort à l'issue de procès expéditifs de masse dénoncés par la communauté internationale et des ONG.
Un obus de mortier, tombé devant un commerce situé à proximité du quartier général des services de sécurité dans le sud de la ville, a tué sept civils, dont un enfant, et blessé 25 autres personnes, selon le ministère de l'Intérieur.
Deux roquettes ont ensuite visé un poste militaire, tuant un soldat et en blessant trois autres, ont indiqué des sources médicales à l'AFP.
Depuis la destitution et l'arrestation par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi le 3 juillet 2013, les attaques contre les forces de l'ordre sont devenues quasi-quotidiennes dans la péninsule désertique du nord-est égyptien et ont fait, selon le gouvernement, quelque 500 morts, pour la quasi-totalité des policiers et des soldats.
Elles sont pour la plupart revendiquées par des groupes jihadistes qui affirment frapper en représailles à l'implacable et sanglante répression menée par les autorités installées par l'armée après l'éviction de M. Morsi. En un an, plus d'un millier de manifestants pro-Morsi ont été tués, 15.000 arrêtés et des centaines condamnés à mort à l'issue de procès expéditifs de masse dénoncés par la communauté internationale et des ONG.
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