Le parti Ettakatol, mené par le président de l'Assemblée constituante Mustapha Ben Jaâfar a déclaré au HuffPost Maghreb qu'Ettakatol, le Courant démocrate de Mohamed Abbou, le Parti des travailleurs tunisiens d'Ali Romdhane et le Mouvement de l'Unité populaire (MUP) d'Ahmed Ben Salah s'était mis d'accord pour la création d'une "plateforme de travail commune".
"L'objectif est de faire appel à tous les partis de centre-gauche et de permettre une participation efficace pour la future phase de consolidation des cinq années à venir", a déclaré Mohamed Msaad, un des responsables du parti.
"La prochaine phase est primordiale. Ce sera, après la phase de mise en place des fondations, celle de la consolidation de la démocratie. Avec la nouvelle constitution, nous seront notamment amenés à créer un nouveau cadre législatif et à mettre en place des réformes économiques que nous voulons conformes à nos orientations", a expliqué Mohamed Msaad.
Le second objectif, selon M. Msaad, est d'élaborer des positions communes et d'inciter les militants de chacun des partis à travailler ensemble à compter de cette période préélectorale.
"La coalition électorale serait un aboutissement, mais nous n'en sommes pas encore là", a précisé Sami Razgallah, membre bureau exécutif et responsable de la communication.
Des pourparlers sont en cours avec d'autres partis politiques, notamment le Mouvement populaire de Zouhair Maghzaoui et l'Alliance démocratique de Mohamed Hamdi.
Eviter la bipolarisation
Sami Razgallah a indiqué que cette "plateforme" se voulait cohérente, réunissant des partis politiques ayant la même orientation "socio-démocrate" (centre-gauche) et oeuvrant pour la réalisation de la justice transitionnelle. "Tout le monde se dit centriste, mais il est clair que des partis comme Nida Tounes ou Ennahdha ont plutôt une orientation économique libérale".
L'objectif principal est d'éviter la bipolarisation du paysage politique et de proposer une force qui puisse peser dans les débats.
L'annonce de ce rapprochement entre les quatre formations politiques vise ainsi à créer une dynamique en faveur de l'élargissement de cette "plateforme" commune.
L'autre objectif est électoral, même si aucun accord n'a encore été conclu en ce sens. Il s'agirait alors de soutenir un même candidat pour l'élection présidentielle et de proposer une coalition électorale ou post-électorale.
"L'objectif est de faire appel à tous les partis de centre-gauche et de permettre une participation efficace pour la future phase de consolidation des cinq années à venir", a déclaré Mohamed Msaad, un des responsables du parti.
"La prochaine phase est primordiale. Ce sera, après la phase de mise en place des fondations, celle de la consolidation de la démocratie. Avec la nouvelle constitution, nous seront notamment amenés à créer un nouveau cadre législatif et à mettre en place des réformes économiques que nous voulons conformes à nos orientations", a expliqué Mohamed Msaad.
Le second objectif, selon M. Msaad, est d'élaborer des positions communes et d'inciter les militants de chacun des partis à travailler ensemble à compter de cette période préélectorale.
"Selon les résultats du dialogue national, on va établir les bases d'une stratégie commune et d'un front commun", a-t-il ajouté.
"La coalition électorale serait un aboutissement, mais nous n'en sommes pas encore là", a précisé Sami Razgallah, membre bureau exécutif et responsable de la communication.
Des pourparlers sont en cours avec d'autres partis politiques, notamment le Mouvement populaire de Zouhair Maghzaoui et l'Alliance démocratique de Mohamed Hamdi.
Eviter la bipolarisation
Sami Razgallah a indiqué que cette "plateforme" se voulait cohérente, réunissant des partis politiques ayant la même orientation "socio-démocrate" (centre-gauche) et oeuvrant pour la réalisation de la justice transitionnelle. "Tout le monde se dit centriste, mais il est clair que des partis comme Nida Tounes ou Ennahdha ont plutôt une orientation économique libérale".
L'objectif principal est d'éviter la bipolarisation du paysage politique et de proposer une force qui puisse peser dans les débats.
L'annonce de ce rapprochement entre les quatre formations politiques vise ainsi à créer une dynamique en faveur de l'élargissement de cette "plateforme" commune.
L'autre objectif est électoral, même si aucun accord n'a encore été conclu en ce sens. Il s'agirait alors de soutenir un même candidat pour l'élection présidentielle et de proposer une coalition électorale ou post-électorale.
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