La présidente du groupe démocrate à l'Assemblée Nationale Constituante Salma Baccar a affirmé, mercredi, que son groupe allait "se réorganiser, réévaluer ses relations et arrêter ses positions pour éviter de nouvelles démissions".
"Les députés d'Al Jomhouri ont officiellement démissionné suite aux nombreuses divergences dans le groupe", a-t-elle déclaré à l'agence TAP, enchaînant que "la force d'un groupe se mesure à l'efficacité de ses propositions et au poids de ses positions, et non au nombre de ses membres".
Pour sa part, Issam Chebbi, porte-parole du parti Joumhouri, a expliqué que les élus de son parti ont décidé de démissionner pour éviter les tensions au sein du groupe, citant notamment des "divergences profondes" et fustigeant "l'absence de coordination".
"Les divergences sont devenues profondes et insurmontables lors du vote, s'agissant notamment de l'article 167 relatif à l'exclusion politique et la loi électorale, la question de la normalisation avec l'entité sioniste et l'appel de certains élus à dissoudre l'ANC", a-t-il indiqué.
Selon le député Joumhouri Rabeh Kheraïfi , le parti ne "veut se rallier à aucun autre bloc parlementaire".
Durant la période écoulée, de nombreux députés ont démissionné du groupe démocrate, à l'instar des élus de l'Alliance Démocratique, de Selim Ben Abdesselem et Fatma Gharbi de Nida Tounes, des élus d'Al Jomhouri ainsi que de Foued Thameur du Front National Tunisien.
Après cette série de démissions, le groupe démocrate compte aujourd'hui 14 élus - 9 Al Massar, 3 Afek Tounes, Mongi Rahoui et Karim Bouabdelli - alors qu'il en comptait 35 à sa Constitution.
"Les députés d'Al Jomhouri ont officiellement démissionné suite aux nombreuses divergences dans le groupe", a-t-elle déclaré à l'agence TAP, enchaînant que "la force d'un groupe se mesure à l'efficacité de ses propositions et au poids de ses positions, et non au nombre de ses membres".
Pour sa part, Issam Chebbi, porte-parole du parti Joumhouri, a expliqué que les élus de son parti ont décidé de démissionner pour éviter les tensions au sein du groupe, citant notamment des "divergences profondes" et fustigeant "l'absence de coordination".
"Les divergences sont devenues profondes et insurmontables lors du vote, s'agissant notamment de l'article 167 relatif à l'exclusion politique et la loi électorale, la question de la normalisation avec l'entité sioniste et l'appel de certains élus à dissoudre l'ANC", a-t-il indiqué.
Selon le député Joumhouri Rabeh Kheraïfi , le parti ne "veut se rallier à aucun autre bloc parlementaire".
Durant la période écoulée, de nombreux députés ont démissionné du groupe démocrate, à l'instar des élus de l'Alliance Démocratique, de Selim Ben Abdesselem et Fatma Gharbi de Nida Tounes, des élus d'Al Jomhouri ainsi que de Foued Thameur du Front National Tunisien.
Après cette série de démissions, le groupe démocrate compte aujourd'hui 14 élus - 9 Al Massar, 3 Afek Tounes, Mongi Rahoui et Karim Bouabdelli - alors qu'il en comptait 35 à sa Constitution.
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