"Les préparatifs des prochaines élections vont bon train. Elles seront réalisées cette année", ont assuré le chef du gouvernement provisoire, Mehdi Jomaâ et le président de l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE), Chafik Sarsar.
Dans une déclaration aux médias à l'issue d'une réunion, lundi, avec des membres de l'ISIE et des dirigeants sécuritaires, Mehdi Jomaâ a expliqué que les préparatifs de ces échéances électorales se déroulent sous plusieurs aspects: conditions sécuritaires, aménagement des sections régionales de l'ISIE et mobilisation des ressources humaines et financières nécessaires.
La Constitution tunisienne adoptée en janvier dispose que les élections présidentielle et législatives doivent être tenues en 2014.
Fin avril, alors que les débats sur la loi électorale étaient encore en cours à l'ANC, Jomâa avait pourtant émis des doutes sur la tenue des élections en 2014, admettant le "risque" d'un report aux premiers mois de 2015.
Mais vendredi dernier, au lendemain de l'adoption de la loi électorale, le président de l'instance chargée d'organiser les élections (ISIE) avait suggéré que les scrutins pourraient "en principe" avoir lieu en novembre et décembre 2014.
100 millions de dinars pour les élections
Le gouvernement a versé une avance de 10 millions de dinars à l'ISIE en mars dernier pour entamer les préparatifs des prochaines élections, a indiqué Mehdi Jomâa hier.
Fin mars, Chafik Sarsar, fustigeant les conditions de travail difficiles de l'instance, avait appelé les autorités à "tenir leurs promesses".
Dans le même contexte, le président de l'ISIE a souligné que cinq locaux sur un total de sept ont déjà été aménagés, faisant remarquer que les ressources humaines et les autres moyens logistiques seront disponibles d'ici la fin de ce mois.
Selon Sarsar, le coût des prochaines élections s'élèverait à 100 millions de dinars, d'après les premières estimations. "Les efforts seront axés sur la minimisation des dépenses des élections sans pour autant en affecter l'organisation".
En cas de séparation des deux échéances électorales, la présidentielle sera organisée en deux tours, précisant que le second tour serait envisagé le dernier dimanche du mois de décembre, soit le 28 décembre 2014, alors que le premier tour aurait lieu le 23 novembre 2014, conformément à la loi qui fixe la période de séparation entre les deux tours à 43 jours.
Mehdi Jomâa a par ailleurs rappelé que les membres du gouvernement en place ne vont pas se porter candidat aux prochaines élections. Le chef du gouvernement a récemment réitérer à plusieurs reprises qu'il ne serait pas candidat à la présidentielle.
Souvenez-vous du 23 octobre 2011:
Dans une déclaration aux médias à l'issue d'une réunion, lundi, avec des membres de l'ISIE et des dirigeants sécuritaires, Mehdi Jomaâ a expliqué que les préparatifs de ces échéances électorales se déroulent sous plusieurs aspects: conditions sécuritaires, aménagement des sections régionales de l'ISIE et mobilisation des ressources humaines et financières nécessaires.
La Constitution tunisienne adoptée en janvier dispose que les élections présidentielle et législatives doivent être tenues en 2014.
Fin avril, alors que les débats sur la loi électorale étaient encore en cours à l'ANC, Jomâa avait pourtant émis des doutes sur la tenue des élections en 2014, admettant le "risque" d'un report aux premiers mois de 2015.
Mais vendredi dernier, au lendemain de l'adoption de la loi électorale, le président de l'instance chargée d'organiser les élections (ISIE) avait suggéré que les scrutins pourraient "en principe" avoir lieu en novembre et décembre 2014.
100 millions de dinars pour les élections
Le gouvernement a versé une avance de 10 millions de dinars à l'ISIE en mars dernier pour entamer les préparatifs des prochaines élections, a indiqué Mehdi Jomâa hier.
Fin mars, Chafik Sarsar, fustigeant les conditions de travail difficiles de l'instance, avait appelé les autorités à "tenir leurs promesses".
Dans le même contexte, le président de l'ISIE a souligné que cinq locaux sur un total de sept ont déjà été aménagés, faisant remarquer que les ressources humaines et les autres moyens logistiques seront disponibles d'ici la fin de ce mois.
Selon Sarsar, le coût des prochaines élections s'élèverait à 100 millions de dinars, d'après les premières estimations. "Les efforts seront axés sur la minimisation des dépenses des élections sans pour autant en affecter l'organisation".
En cas de séparation des deux échéances électorales, la présidentielle sera organisée en deux tours, précisant que le second tour serait envisagé le dernier dimanche du mois de décembre, soit le 28 décembre 2014, alors que le premier tour aurait lieu le 23 novembre 2014, conformément à la loi qui fixe la période de séparation entre les deux tours à 43 jours.
Mehdi Jomâa a par ailleurs rappelé que les membres du gouvernement en place ne vont pas se porter candidat aux prochaines élections. Le chef du gouvernement a récemment réitérer à plusieurs reprises qu'il ne serait pas candidat à la présidentielle.
Souvenez-vous du 23 octobre 2011:
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