Plusieurs associations des droits de l'Homme ont demandé au président de l'Assemblée Nationale Constituante, Mustapha Ben Jaâfar, de faire en sorte que la parité horizontale et verticale soit inscrite dans la loi électorale, actuellement en cours d'examen à l'ANC.
La présidente de l'association "Bayti" des femmes sans soutien familial, Sana Ben Achour, a souligné la nécessité de consacrer ce principe car s'agissant, selon elle, d'une "question trop fondamentale pour être laissée à la merci des
querelles politiques".
Dans une déclaration de presse à la sortie de cette rencontre, mercredi 23 avril au Palais du Bardo, elle a estimé que "la femme doit prendre toutes ses chances de participer à la vie publique, au nom de l'égalité entre les genres en droits et en obligations". D'autant que "la nouvelle Constitution prescrit le principe de la parité femme-homme", a-t-elle ajouté.
Selon Sana Ben Achour, le président de l'Assemblée Nationale Constituante "s'est montré compréhensif et convaincu" et "a fait part de sa disposition à œuvrer en faveur de cette proposition bien qu'il y ait certaines résistances à ce sujet".
La présidente de l'association "Egalité et parité", Fayza Skandrani, a argué de son côté que les élections du 23 octobre 2011 n'avaient pas permis à la femme tunisienne de décrocher une proportion conséquente de sièges au parlement, "entre autres parce que seules sept têtes de listes étaient des femmes".
Elle a aussi souligné l'impératif de faire en sorte que la femme soit plus présente dans les futurs corps élus, préconisant que le quota de femmes têtes de listes soit porté, dans la loi électorale, de 30, comme le prévoit la mouture initiale, à 50%.
En rappel, pour contourner momentanément le blocage concernant le principe de parité dans le projet de loi électorale, l'Assemblée Constituante avait reporté, lundi 21 avril, la discussion de l'article 23 du texte.
Parmi les associations présentes à cette rencontre figurent notamment la Ligue tunisienne des droits de l'Homme, la Fédération internationale des droits de l'Homme, l'association Baity, la Ligue des électrices tunisiennes, l'association Egalité et parité et l'Association tunisienne des femmes démocrates.
La présidente de l'association "Bayti" des femmes sans soutien familial, Sana Ben Achour, a souligné la nécessité de consacrer ce principe car s'agissant, selon elle, d'une "question trop fondamentale pour être laissée à la merci des
querelles politiques".
Dans une déclaration de presse à la sortie de cette rencontre, mercredi 23 avril au Palais du Bardo, elle a estimé que "la femme doit prendre toutes ses chances de participer à la vie publique, au nom de l'égalité entre les genres en droits et en obligations". D'autant que "la nouvelle Constitution prescrit le principe de la parité femme-homme", a-t-elle ajouté.
Selon Sana Ben Achour, le président de l'Assemblée Nationale Constituante "s'est montré compréhensif et convaincu" et "a fait part de sa disposition à œuvrer en faveur de cette proposition bien qu'il y ait certaines résistances à ce sujet".
La présidente de l'association "Egalité et parité", Fayza Skandrani, a argué de son côté que les élections du 23 octobre 2011 n'avaient pas permis à la femme tunisienne de décrocher une proportion conséquente de sièges au parlement, "entre autres parce que seules sept têtes de listes étaient des femmes".
Elle a aussi souligné l'impératif de faire en sorte que la femme soit plus présente dans les futurs corps élus, préconisant que le quota de femmes têtes de listes soit porté, dans la loi électorale, de 30, comme le prévoit la mouture initiale, à 50%.
En rappel, pour contourner momentanément le blocage concernant le principe de parité dans le projet de loi électorale, l'Assemblée Constituante avait reporté, lundi 21 avril, la discussion de l'article 23 du texte.
Parmi les associations présentes à cette rencontre figurent notamment la Ligue tunisienne des droits de l'Homme, la Fédération internationale des droits de l'Homme, l'association Baity, la Ligue des électrices tunisiennes, l'association Egalité et parité et l'Association tunisienne des femmes démocrates.
LIRE AUSSI: Tunisie - Loi électorale: La parité n'est pas encore acquise
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.