CONDAMNATION - Le Secrétaire général de l’Onu, António Guterres, a exprimé ce dimanche ses condoléances au Maroc suite au décès d’un casque bleu marocain dans une nouvelle attaque contre la mission onusienne en République centrafricaine (MINUSCA).
"Le Secrétaire général présente ses condoléances à la famille endeuillée et au Gouvernement du Royaume du Maroc", indique un communiqué du porte-parole de l’Onu, Stéphane Dujarric.
La même source précise que des éléments présumés anti-Balaka ont mené une attaque contre des civils mais aussi contre la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), les 12 et 13 mai à Bangassou, dans le sud-est de la RCA.
Le Secrétaire général s’est dit “outragé” par ces attaques, et souligné que celles visant les casques bleus peuvent constituer “un crime de guerre”. António Guterres a “condamné fermement” les attaques contre les populations civiles et la MINUSCA et lancé un appel aux autorités centrafricaines pour qu’une enquête soit lancée afin que les responsables répondent rapidement de leurs actes devant la justice.
Le Secrétaire général réaffirme la détermination des Nations Unies à avancer la mise en oeuvre du mandat de la MINUSCA, et tient à “remercier profondément les pays contributeurs de troupe et de police dans leur détermination à protéger les civils”, ajoute le communiqué. Ces récents incidents démontrent que la situation en République centrafricaine “reste fragile d’où le besoin d’un appui continu et soutenu de la part de la région et de la communauté internationale pour surmonter les défis auxquels le pays fait face”, estime le porte-parole de l’Onu.
Cette nouvelle attaque, perpétrée contre un check-point des FAR au centre-ville de Bangassou, intervient moins d’une semaine après celle dont a été la cible une patrouille du contingent des FAR, le 08 mai 2017, sur l’axe Rafai-Bangassou à 220 Km au sud-est de la ville de Bria, lieu d’implantation du contingent des FAR, et qui a causé un mort et neuf blessés.
"Le Secrétaire général présente ses condoléances à la famille endeuillée et au Gouvernement du Royaume du Maroc", indique un communiqué du porte-parole de l’Onu, Stéphane Dujarric.
La même source précise que des éléments présumés anti-Balaka ont mené une attaque contre des civils mais aussi contre la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA), les 12 et 13 mai à Bangassou, dans le sud-est de la RCA.
Le Secrétaire général s’est dit “outragé” par ces attaques, et souligné que celles visant les casques bleus peuvent constituer “un crime de guerre”. António Guterres a “condamné fermement” les attaques contre les populations civiles et la MINUSCA et lancé un appel aux autorités centrafricaines pour qu’une enquête soit lancée afin que les responsables répondent rapidement de leurs actes devant la justice.
Le Secrétaire général réaffirme la détermination des Nations Unies à avancer la mise en oeuvre du mandat de la MINUSCA, et tient à “remercier profondément les pays contributeurs de troupe et de police dans leur détermination à protéger les civils”, ajoute le communiqué. Ces récents incidents démontrent que la situation en République centrafricaine “reste fragile d’où le besoin d’un appui continu et soutenu de la part de la région et de la communauté internationale pour surmonter les défis auxquels le pays fait face”, estime le porte-parole de l’Onu.
Cette nouvelle attaque, perpétrée contre un check-point des FAR au centre-ville de Bangassou, intervient moins d’une semaine après celle dont a été la cible une patrouille du contingent des FAR, le 08 mai 2017, sur l’axe Rafai-Bangassou à 220 Km au sud-est de la ville de Bria, lieu d’implantation du contingent des FAR, et qui a causé un mort et neuf blessés.
LIRE AUSSI:
- Pour suivre les dernières actualités en direct sur Le HuffPost Maroc, cliquez ici
- Chaque jour, recevez gratuitement la newsletter du HuffPost Maroc
- Retrouvez-nous sur notre page Facebook
- Suivez notre fil Twitter