STREET ART - Depuis quelques jours, la ville de Casablanca reprend des couleurs. Le projet "Sbagha Bagha", issu du festival L'Boulevard, est de retour dans la métropole pour une nouvelle édition qui sera étalée sur plusieurs sessions.
La première a commencé le 5 mars dernier et se poursuivra jusqu'au 15 du même mois. Une dizaine de street-artistes marocains et étrangers sont impliqués, selon l'association EAC-L'Boulevart qui organise l'évènement.
"Il y a une dizaine de street-artistes pour cette session, dont six Marocains", souligne Salah Malouli, directeur artistique du festival. Il s'agit de Pantónio (Portugal), Mehdi Annassi, alias Machima (Maroc), Dire (France), Achraf El Kouhen (Maroc), Kevin Neok (France), ED Oner (Maroc), Said Sabbah (Maroc), Red Oner (France), Amin Brush (Maroc), D'Et (Maroc) et Iramo Samir (Maroc).
Un festival à part entière
Parmi les graffitis programmés pour cette session, certaines ont déjà été achevées. D'autres sont en cours de finalisation. Selon Salah Malouli, "Sbagha Bagha" devient cette année un festival à part entière. Un festival qui "participe à l'animation de la ville, apporte de la couleur dans les différents espaces de la métropole et qui peut même susciter des vocations chez les jeunes Casablancais", estime-t-il.
"Ça fait longtemps qu'on avait cette idée en tête: sortir le projet de L'Boulevard pour en faire un rendez-vous indépendant", nous explique de son côté Hicham Bahou, co-fondateur de l'association EAC-L'Boulevart. "L'idéal serait pour nous de mener plusieurs actions au cours de l'année".
Autre nouveauté pour cette édition: le désormais festival bénéficie cette fois d'un appui financier conséquent de la part de la Ville, à travers la société de développement local Casa Events. Celle-ci apporte la plus grosse partie du financement selon les deux responsables.
"Ce n'est pas le genre de festival que l'on peut faire tout seul. On avait besoin de la ville pour le faire dans un esprit collaboratif", souligne Hicham Bahou.
Le festival "Sbagha Bagha" est attendu pour le mois de septembre. Entre temps, une deuxième session de graffitis dans les rues de Casablanca pourrait se tenir en juin prochain, même si "rien n'est encore confirmé", précise-t-on.
Voici un aperçu de ce qui a, jusqu'ici, été fait à Casablanca (Boulevard Al Massira, près de la Mosquée Hassan II, de la gare Casa Port, au croisement des boulevards de la Corniche et Zerktouni, et le rond point Al Yassir sur le boulevard Émile Zola), par les différents artistes participant à cette première session de Sbagha Bagha:
La première a commencé le 5 mars dernier et se poursuivra jusqu'au 15 du même mois. Une dizaine de street-artistes marocains et étrangers sont impliqués, selon l'association EAC-L'Boulevart qui organise l'évènement.
"Il y a une dizaine de street-artistes pour cette session, dont six Marocains", souligne Salah Malouli, directeur artistique du festival. Il s'agit de Pantónio (Portugal), Mehdi Annassi, alias Machima (Maroc), Dire (France), Achraf El Kouhen (Maroc), Kevin Neok (France), ED Oner (Maroc), Said Sabbah (Maroc), Red Oner (France), Amin Brush (Maroc), D'Et (Maroc) et Iramo Samir (Maroc).
Un festival à part entière
Parmi les graffitis programmés pour cette session, certaines ont déjà été achevées. D'autres sont en cours de finalisation. Selon Salah Malouli, "Sbagha Bagha" devient cette année un festival à part entière. Un festival qui "participe à l'animation de la ville, apporte de la couleur dans les différents espaces de la métropole et qui peut même susciter des vocations chez les jeunes Casablancais", estime-t-il.
"Ça fait longtemps qu'on avait cette idée en tête: sortir le projet de L'Boulevard pour en faire un rendez-vous indépendant", nous explique de son côté Hicham Bahou, co-fondateur de l'association EAC-L'Boulevart. "L'idéal serait pour nous de mener plusieurs actions au cours de l'année".
Autre nouveauté pour cette édition: le désormais festival bénéficie cette fois d'un appui financier conséquent de la part de la Ville, à travers la société de développement local Casa Events. Celle-ci apporte la plus grosse partie du financement selon les deux responsables.
"Ce n'est pas le genre de festival que l'on peut faire tout seul. On avait besoin de la ville pour le faire dans un esprit collaboratif", souligne Hicham Bahou.
Le festival "Sbagha Bagha" est attendu pour le mois de septembre. Entre temps, une deuxième session de graffitis dans les rues de Casablanca pourrait se tenir en juin prochain, même si "rien n'est encore confirmé", précise-t-on.
Voici un aperçu de ce qui a, jusqu'ici, été fait à Casablanca (Boulevard Al Massira, près de la Mosquée Hassan II, de la gare Casa Port, au croisement des boulevards de la Corniche et Zerktouni, et le rond point Al Yassir sur le boulevard Émile Zola), par les différents artistes participant à cette première session de Sbagha Bagha:
LIRE AUSSI:
- Pour suivre les dernières actualités en direct sur Le HuffPost Maroc, cliquez ici
- Chaque jour, recevez gratuitement la newsletter du HuffPost Maroc
- Retrouvez-nous sur notre page Facebook
- Suivez notre fil Twitter