Les prix du pétrole reculaient lundi en cours d'échanges européens pour la cinquième séance consécutive, la crainte d'une hausse de l'activité américaine pesant sur les esprits des investisseurs.
Vers 11H00 GMT (12H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai valait 51,17 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 20 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat d'avril cédait 27 cents à 48,22 dollars.
Les cours de l'or noir poursuivaient leur recul et le baril de Brent a atteint son plus bas depuis fin novembre, à 50,85 dollars à 23H00 GMT dimanche soir, tandis que le baril de WTI a touché son plus bas depuis début décembre à 47,90 dollars.
"Les cours du pétrole commencent la semaine comme ils avaient passé la semaine précédente, au plus bas depuis l'accord de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole, ndlr), malgré la faiblesse du dollar", a commenté Michael van Dulken, analyste chez Accendo Markets.
Fin 2016, les cours avaient décollé, dopés par la perspective d'une baisse de l'offre mondiale en raison de cet accord liant l'Opep et d'autres grands producteurs, qui s'engageaient à limiter leurs extractions sur les six premiers mois de 2017 pour entamer les réserves mondiales et rééquilibrer le marché mondial.
"La baisse de ce lundi intervient alors que l'entreprise privée Baker Hughes a publié vendredi soir ses données sur les puits actifs aux Etats-Unis, qui ont augmenté pour la huitième semaine consécutive, ce qui nourrit les craintes d'une hausse de la production américaine qui compenserait les baisses de l'Opep", a expliqué Michael van Dulken.
"Les données recueillies par sondage sur les niveaux de production font état d'une baisse de l'Opep, mais il n'y a pas vraiment d'autres éléments qui montrent que l'offre se resserre. Au contraire, les réserves américaines de brut atteignent des nouveaux records chaque semaine, et les importations chinoises de février sont tout juste en deçà de leur niveau record de décembre dernier", ont abondé les analystes de Commerzbank.
Vers 11H00 GMT (12H00 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai valait 51,17 dollars sur l'Intercontinental Exchange (ICE) de Londres, en baisse de 20 cents par rapport à la clôture de vendredi.
Dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour le contrat d'avril cédait 27 cents à 48,22 dollars.
Les cours de l'or noir poursuivaient leur recul et le baril de Brent a atteint son plus bas depuis fin novembre, à 50,85 dollars à 23H00 GMT dimanche soir, tandis que le baril de WTI a touché son plus bas depuis début décembre à 47,90 dollars.
"Les cours du pétrole commencent la semaine comme ils avaient passé la semaine précédente, au plus bas depuis l'accord de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole, ndlr), malgré la faiblesse du dollar", a commenté Michael van Dulken, analyste chez Accendo Markets.
Fin 2016, les cours avaient décollé, dopés par la perspective d'une baisse de l'offre mondiale en raison de cet accord liant l'Opep et d'autres grands producteurs, qui s'engageaient à limiter leurs extractions sur les six premiers mois de 2017 pour entamer les réserves mondiales et rééquilibrer le marché mondial.
"La baisse de ce lundi intervient alors que l'entreprise privée Baker Hughes a publié vendredi soir ses données sur les puits actifs aux Etats-Unis, qui ont augmenté pour la huitième semaine consécutive, ce qui nourrit les craintes d'une hausse de la production américaine qui compenserait les baisses de l'Opep", a expliqué Michael van Dulken.
"Les données recueillies par sondage sur les niveaux de production font état d'une baisse de l'Opep, mais il n'y a pas vraiment d'autres éléments qui montrent que l'offre se resserre. Au contraire, les réserves américaines de brut atteignent des nouveaux records chaque semaine, et les importations chinoises de février sont tout juste en deçà de leur niveau record de décembre dernier", ont abondé les analystes de Commerzbank.
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