Le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales a saisi la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) pour ouvrir une enquête sur une "supposée répression violente" d'un rassemblement mercredi dernier à Alger d’étudiants en pharmacie, a indiqué jeudi 13 février le ministre de l'Intérieur, Nouredine Bedoui.
S’exprimant lors d’un point de presse a animé jeudi soir en marge d'une visite de travail dans la wilaya de Tizi-Ouzou et en réponse à une question d’un journaliste sur une "répression violente" de ces étudiants, M. Bedoui, a affirmé que "la DGSN a été instruite d’ouvrir une enquête sur cette affaire", car, a-t-il souligné "nous sommes dans un Etat de droit".
En grève depuis près de 3 mois, des étudiants en pharmacie ont tenté de tenir un sit-in mercredi 22 février à Alger. Ce rassemblement a été violemment empêché par la police comme le montrent des vidéos partagées sur les réseaux sociaux.
Les images ont choqué les internautes qui ont demandé des sanctions à l'encontre des éléments de police impliqués.
Parmi leurs revendications, on retrouve la diminution du nombre de places pédagogiques, des facilitations pour accéder à des emplois dans l’industrie pharmaceutique, la création de nouvelles spécialités, la création du statut de pharmacien assistant et l’obligation pour les pharmacies d’officine de recruter les diplômés, et le passage du treizième au seizième échelon dans la grille des salaires.
Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a reçu le 5 février des représentants des étudiants en pharmacie et les deux parties se sont mises d'accord sur des "recommandations que le gouvernement et le Ministère de l’enseignement supérieure et de la recherche scientifique £uvrent à concrétiser sur le terrain", a rappelé M. Bedoui.
Non convaincus par cette rencontre, les étudiants ont décidé de poursuivre la grève.
S’exprimant lors d’un point de presse a animé jeudi soir en marge d'une visite de travail dans la wilaya de Tizi-Ouzou et en réponse à une question d’un journaliste sur une "répression violente" de ces étudiants, M. Bedoui, a affirmé que "la DGSN a été instruite d’ouvrir une enquête sur cette affaire", car, a-t-il souligné "nous sommes dans un Etat de droit".
En grève depuis près de 3 mois, des étudiants en pharmacie ont tenté de tenir un sit-in mercredi 22 février à Alger. Ce rassemblement a été violemment empêché par la police comme le montrent des vidéos partagées sur les réseaux sociaux.
Les images ont choqué les internautes qui ont demandé des sanctions à l'encontre des éléments de police impliqués.
Parmi leurs revendications, on retrouve la diminution du nombre de places pédagogiques, des facilitations pour accéder à des emplois dans l’industrie pharmaceutique, la création de nouvelles spécialités, la création du statut de pharmacien assistant et l’obligation pour les pharmacies d’officine de recruter les diplômés, et le passage du treizième au seizième échelon dans la grille des salaires.
Le Premier ministre Abdelmalek Sellal a reçu le 5 février des représentants des étudiants en pharmacie et les deux parties se sont mises d'accord sur des "recommandations que le gouvernement et le Ministère de l’enseignement supérieure et de la recherche scientifique £uvrent à concrétiser sur le terrain", a rappelé M. Bedoui.
Non convaincus par cette rencontre, les étudiants ont décidé de poursuivre la grève.
LIRE AUSSI: Plusieurs universités du nord du pays sont touchées par des mouvements de grève
Retrouvez les articles de HuffPost Algérie sur notre page Facebook.
Pour suivre les dernières actualités en direct, cliquez ici.