La vie a repris, lundi 7 avril, son rythme habituel à Ben Guerdane, après la paralysie engendrée par une grève générale de trois jours à l'appel de l'Union locale du Travail en raison de l'absence de sécurité et de conditions favorables de travail.
''Après avoir examiné la situation à Ben Guerdane, les structures syndicales, réunies dimanche à Médenine, ont décidé de reprendre le travail dans les établissements publics pour l'intérêt général'' a indiqué au correspondant de l'Agence TAP le secrétaire général de l'Union locale du travail, Mohsen Lachiheb.
Il a expliqué que cette décision n'est pas pour autant synonyme d'un regain de sécurité mais elle vise à rétablir le cours normal de la vie dans la ville. Il a ajouté qu'en cas de dérapage sécuritaire, un appel sera lancé pour l'arrêt du travail.
Une délégation de la société civile de Ben Guerdane a, par ailleurs, été reçue par le président de la République, Moncef Marzouki, ce samedi 5 avril au palais de Carthage. Durant cette rencontre, il a été question de la fermeture du poste frontalier de Ras Jedir qui doit réouvrir aujourd'hui ainsi que du retard de développement dont souffre la région.
Dans un communiqué rendu public dimanche, les structures syndicales et civiles ont exprimé leur soutien au mouvement populaire pacifique de Ben Guerdane, appelant le gouvernement à accorder plus d'attention à la question de développement et à accélérer les projets programmés dans la région, ainsi qu'à l'ouverture du passage frontalier de Ras Jedir tout en assurant la sécurité des passagers tunisiens et llibyens.
''Après avoir examiné la situation à Ben Guerdane, les structures syndicales, réunies dimanche à Médenine, ont décidé de reprendre le travail dans les établissements publics pour l'intérêt général'' a indiqué au correspondant de l'Agence TAP le secrétaire général de l'Union locale du travail, Mohsen Lachiheb.
Il a expliqué que cette décision n'est pas pour autant synonyme d'un regain de sécurité mais elle vise à rétablir le cours normal de la vie dans la ville. Il a ajouté qu'en cas de dérapage sécuritaire, un appel sera lancé pour l'arrêt du travail.
Une délégation de la société civile de Ben Guerdane a, par ailleurs, été reçue par le président de la République, Moncef Marzouki, ce samedi 5 avril au palais de Carthage. Durant cette rencontre, il a été question de la fermeture du poste frontalier de Ras Jedir qui doit réouvrir aujourd'hui ainsi que du retard de développement dont souffre la région.
Dans un communiqué rendu public dimanche, les structures syndicales et civiles ont exprimé leur soutien au mouvement populaire pacifique de Ben Guerdane, appelant le gouvernement à accorder plus d'attention à la question de développement et à accélérer les projets programmés dans la région, ainsi qu'à l'ouverture du passage frontalier de Ras Jedir tout en assurant la sécurité des passagers tunisiens et llibyens.
LIRE:
- Tunisie: Le poste frontalier de Ras Jedir sur le point d'être réouvert
- Grève générale à Ben Guerdane, près de la frontière libyenne
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