Le secrétaire général-adjoint de l'Union Générale Tunisienne du Travail (UGTT), Mouldi Jendoubi, a appelé, vendredi 28 mars, au lancement d'un dialogue sociétal pour identifier les obstacles à l'autonomisation juridique des pauvres" considérant que l'absence d'une protection juridique des pauvres représente l'un de ces obstacles à la dynamisation des politiques publiques pour la lutte contre la pauvreté.
De son côté, le secrétaire général de l'Organisation Arabe des droits de l'Homme, Alaa Chalbi, a indiqué que l'autonomisation juridique des pauvres est basé sur quatre fondements : la garantie de l'accès à la justice, la protection des droits des ouvriers, la protection des droits de propriété des pauvres et des marginalisés, et le renforcement de leurs droits dans l'exercice des activités commerciales.
Le président de l'Institut Arabe des droits de l'Homme (IADH), Abdelbasset Ben Hassan, a indiqué que l'autonomisation juridique des pauvres est un concept profond basé sur la dualité entre le développement et les droits de l'Homme, en vue de lutter contre la pauvreté. Il a, en outre, mis l'accent sur la nécessité pour la société civile d'adopter un nouveau discours permettant aux pauvres d'influer sur les institutions et d'élaborer les lois, et leur garantissant leur droit à une vie digne.
La conférence régionale sur "l'autonomisation juridique des pauvres" a été marquée par une présence importante de représentants d'organisations et d'associations maghrébines et arabes actives dans le domaine du développement et des droits de l'homme, ainsi que de juristes et économistes.
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Il a précisé: "Environ 1,7 million de Tunisiens vivent sous le seuil de pauvreté et 75% d'entre eux, se trouvent dans les zones intérieures et rurales par conséquent sont privés des plus simples commodités comme le logement décent, l'eau et l'électricité".
De son côté, le secrétaire général de l'Organisation Arabe des droits de l'Homme, Alaa Chalbi, a indiqué que l'autonomisation juridique des pauvres est basé sur quatre fondements : la garantie de l'accès à la justice, la protection des droits des ouvriers, la protection des droits de propriété des pauvres et des marginalisés, et le renforcement de leurs droits dans l'exercice des activités commerciales.
Le président de l'Institut Arabe des droits de l'Homme (IADH), Abdelbasset Ben Hassan, a indiqué que l'autonomisation juridique des pauvres est un concept profond basé sur la dualité entre le développement et les droits de l'Homme, en vue de lutter contre la pauvreté. Il a, en outre, mis l'accent sur la nécessité pour la société civile d'adopter un nouveau discours permettant aux pauvres d'influer sur les institutions et d'élaborer les lois, et leur garantissant leur droit à une vie digne.
La conférence régionale sur "l'autonomisation juridique des pauvres" a été marquée par une présence importante de représentants d'organisations et d'associations maghrébines et arabes actives dans le domaine du développement et des droits de l'homme, ainsi que de juristes et économistes.
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