La production du phosphate dans les mines de Redeyef par la Compagnie des phosphates de Gafsa (CPG) a repris il y a deux jour après une interruption qui avait commencé le 7 janvier 2014, selon des sources concordantes de la CPG et de la Société nationale des chemins de fer tunisiens (SNCFT).
Le production repart à Redeyef mais ça coince toujours à Oum Larayes
Une source responsable de la direction régionale de la SNCFT de Gafsa a indiqué à la correspondante de l'agence TAP dans la région que "le transport du phosphate par voie ferroviaire a repris, depuis deux jours, à partir de la ville de Redeyef et en direction des usines du Groupe chimique tunisien (GCT)".
De son côté, le directeur général-adjoint de la CPG, Taïeb Yahiaoui, a estimé que la reprise des activités de la Compagnie à Redeyef et Oum Larayes est une question vitale pour cette entreprise, surtout pour le rétablissement de ses équilibres financiers et la satisfaction de ses engagements envers le GCT dont les besoins sont estimés à environ 6 millions de tonnes de phosphate commercial, cette année.
Toutefois, si la CPG a repris ses activités dans la délégation de Redeyef, la production et la commercialisation du phosphate demeurent en suspens, depuis le début de l'année, dans la délégation d'Oum Larayes où la Compagnie dispose de réserves de phosphate commercial estimées plus d'un million de tonnes.
Des objectifs très modestes
La CPG a établi, pour cette année, un programme qui table sur la production et la commercialisation de 5,5 millions de tonnes, ce qui est considéré par le directeur général-adjoint de la Compagnie comme "le niveau le plus bas nécessaire" qui peut permettre au GCT de fonctionner.
Dans ce sens, la CPG a pu produire 917 mille tonnes de phosphate entre le début de cette année et jusqu'au 27 mars 2014 contre des prévisions de 1,2 millions (-27%), d'après Hafedh Ben Yahia, le responsable de la direction du suivi de la production.
D'importantes quantités de phosphate prêtes à la commercialisation (1,4 millions de tonnes) sont disponibles dans la délégation de Redeyef où des mouvements de protestation de chômeurs et de travailleurs des chantiers forestiers ont entravé le travail de la CPG.
Le production repart à Redeyef mais ça coince toujours à Oum Larayes
Une source responsable de la direction régionale de la SNCFT de Gafsa a indiqué à la correspondante de l'agence TAP dans la région que "le transport du phosphate par voie ferroviaire a repris, depuis deux jours, à partir de la ville de Redeyef et en direction des usines du Groupe chimique tunisien (GCT)".
De son côté, le directeur général-adjoint de la CPG, Taïeb Yahiaoui, a estimé que la reprise des activités de la Compagnie à Redeyef et Oum Larayes est une question vitale pour cette entreprise, surtout pour le rétablissement de ses équilibres financiers et la satisfaction de ses engagements envers le GCT dont les besoins sont estimés à environ 6 millions de tonnes de phosphate commercial, cette année.
Toutefois, si la CPG a repris ses activités dans la délégation de Redeyef, la production et la commercialisation du phosphate demeurent en suspens, depuis le début de l'année, dans la délégation d'Oum Larayes où la Compagnie dispose de réserves de phosphate commercial estimées plus d'un million de tonnes.
Des objectifs très modestes
La CPG a établi, pour cette année, un programme qui table sur la production et la commercialisation de 5,5 millions de tonnes, ce qui est considéré par le directeur général-adjoint de la Compagnie comme "le niveau le plus bas nécessaire" qui peut permettre au GCT de fonctionner.
Dans ce sens, la CPG a pu produire 917 mille tonnes de phosphate entre le début de cette année et jusqu'au 27 mars 2014 contre des prévisions de 1,2 millions (-27%), d'après Hafedh Ben Yahia, le responsable de la direction du suivi de la production.
D'importantes quantités de phosphate prêtes à la commercialisation (1,4 millions de tonnes) sont disponibles dans la délégation de Redeyef où des mouvements de protestation de chômeurs et de travailleurs des chantiers forestiers ont entravé le travail de la CPG.
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