Le dirigeant au sein d’Ennahdha et ancien ministre de la Santé Abdellatif Mekki, a écarté la présence d’alliance d’Ennahdha avec un autre parti pour les prochaines élections, ajoutant que "la loi électorale n’encourage pas les alliances entre les grands et les petits partis mais elle incite à se présenter séparément aux élections".
Il a fait savoir lors d’un meeting tenu samedi à Médenine, que la conduite du pays sera participative après les prochaines élections.
Concernant la position du mouvement au sujet des prochaines élections, le dirigeant a souligné que le parti Ennahdha est pour que les élections présidentielles et législatives se déroulent en même temps et ce, afin de préserver les chances de toutes les parties.
Pour Mekki, l’avancement des élections présidentielles par rapport aux élections législatives ou la séparation entre celles-ci incitera Ennahdha à présenter la candidature d’une personnalité à la présidentielle, un sujet qui n’a pas encore été évoqué, selon ses dires.
Le dirigeant d’Ennahdha a précisé également, que les prochaines élections sont une nécessité politique pour assurer la stabilité du pays et accélérer son développement, d’autant plus que les lois actuelles ne permettent pas d’effectuer des changements radicaux dans le modèle du développement.
Il a affirmé dans le même contexte que "plusieurs parties veulent retarder les élections et ce, soit parce qu’elles seront perdantes, ou encore afin de gagner du temps, du fait de leur volonté d’apporter des changements aux conditions et données".
Mekki a évoqué l’article 15 de la loi électorale indiquant à ce propos, l’existence de deux orientations concernant cet article. La première a trait à l’interdiction du retour des membres du rassemblement démocratique constitutionnel (RCD) dissous par la loi, et la seconde refuse cela "pour ne pas nuire aux élections", a-t-il dit.
Il a ajouté que le retour sur la scène des partisans du RCD n’a pas raison d’être et que le parti Ennahdha refuse le retour des caciques de l’ancien régime et ce, "en les mettant face à face avec le peuple qui causera leur défaite".
Parlant de la violence et du terrorisme, Mekki a mis l’accent sur l’échec de toute partie voulant déséquilibrer le pays qui est aujourd’hui plus fort sur les plans éthique, politique et sécuritaire.
Il a fait savoir lors d’un meeting tenu samedi à Médenine, que la conduite du pays sera participative après les prochaines élections.
Concernant la position du mouvement au sujet des prochaines élections, le dirigeant a souligné que le parti Ennahdha est pour que les élections présidentielles et législatives se déroulent en même temps et ce, afin de préserver les chances de toutes les parties.
Pour Mekki, l’avancement des élections présidentielles par rapport aux élections législatives ou la séparation entre celles-ci incitera Ennahdha à présenter la candidature d’une personnalité à la présidentielle, un sujet qui n’a pas encore été évoqué, selon ses dires.
Le dirigeant d’Ennahdha a précisé également, que les prochaines élections sont une nécessité politique pour assurer la stabilité du pays et accélérer son développement, d’autant plus que les lois actuelles ne permettent pas d’effectuer des changements radicaux dans le modèle du développement.
Il a affirmé dans le même contexte que "plusieurs parties veulent retarder les élections et ce, soit parce qu’elles seront perdantes, ou encore afin de gagner du temps, du fait de leur volonté d’apporter des changements aux conditions et données".
Mekki a évoqué l’article 15 de la loi électorale indiquant à ce propos, l’existence de deux orientations concernant cet article. La première a trait à l’interdiction du retour des membres du rassemblement démocratique constitutionnel (RCD) dissous par la loi, et la seconde refuse cela "pour ne pas nuire aux élections", a-t-il dit.
Il a ajouté que le retour sur la scène des partisans du RCD n’a pas raison d’être et que le parti Ennahdha refuse le retour des caciques de l’ancien régime et ce, "en les mettant face à face avec le peuple qui causera leur défaite".
Parlant de la violence et du terrorisme, Mekki a mis l’accent sur l’échec de toute partie voulant déséquilibrer le pays qui est aujourd’hui plus fort sur les plans éthique, politique et sécuritaire.
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