D'intenses échanges de tirs ont eu lieu dans la nuit du mercredi entre un présumé groupe terroriste et les agents d'un poste frontière avancé de la Garde nationale à Sakiet Sidi Youssef (gouvernorat du Kef) sans faire de dégâts des deux cotés, a affirmé le porte-parole du ministère de l'Intérieur Mohamed Ali Laroui.
Joint jeudi matin par l'Agence TAP, Laroui a expliqué qu'à présent, les unités conjointes de la Garde nationale et de l'armée effectuent un large ratissage pour traquer le présumé groupe terroriste qui a pris la fuite.
Lundi, les forces de sécurité ont mené une opération antiterroriste à Jendouba tuant trois présumés "jihadistes" selon le ministère de l'Intérieur. Parmi les trois personnes tuées, figure Ragheb Hannachi, qualifié de "dangereux terroriste", par le porte-parole du ministère. Il était suspecté d'être l'un des auteurs de l'embuscade de Jendouba lors de laquelle quatre personnes, dont deux gendarmes, ont été tuées.
Deux des sept éléments arrêtés lors de ces affrontements de Jendouba ont été relâchés. Les autres restent à la disposition de la brigade antiterroriste avant d'être déférés devant le ministère public à Tunis, a précisé le substitut du procureur de la République près le Tribunal de première instance de Tunis, Sofiene Selliti.
Joint jeudi matin par l'Agence TAP, Laroui a expliqué qu'à présent, les unités conjointes de la Garde nationale et de l'armée effectuent un large ratissage pour traquer le présumé groupe terroriste qui a pris la fuite.
Lundi, les forces de sécurité ont mené une opération antiterroriste à Jendouba tuant trois présumés "jihadistes" selon le ministère de l'Intérieur. Parmi les trois personnes tuées, figure Ragheb Hannachi, qualifié de "dangereux terroriste", par le porte-parole du ministère. Il était suspecté d'être l'un des auteurs de l'embuscade de Jendouba lors de laquelle quatre personnes, dont deux gendarmes, ont été tuées.
Deux des sept éléments arrêtés lors de ces affrontements de Jendouba ont été relâchés. Les autres restent à la disposition de la brigade antiterroriste avant d'être déférés devant le ministère public à Tunis, a précisé le substitut du procureur de la République près le Tribunal de première instance de Tunis, Sofiene Selliti.
Retrouvez les articles du HuffPost Maghreb sur notre page Facebook.